Et si les saisons commerciales avaient plus d’influence sur nous que les saisons naturelles ?
Deux employées arrivent un matin sur leur lieu de travail, un entrepôt peuplé de colis, d’emballages et… d’une plante verte. Tout en accomplissant leur tâche quotidienne, au fil des matières et des objets qu’elles manipulent, elles recréent à leur façon le passage des saisons, entre printemps social, pause estivale, promotions de rentrée et frénésie des fêtes de fin d’année. Un état des lieux poétique et décalé de notre société de surabondance, qui fait la part belle aux jeux de mots visuels.